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Annuaire Congolais de Justice Constitutionnelle

Annuaire Congolais de Justice Constitutionnelle
Réunion de l'Assemblée générale du CREEDA de l'année 2020

Réunion de l'Assemblée générale du CREEDA de l'année 2020
Photos de famille lors de la présentation de l'Annuaire Congolais de Justice Constitutionnelle, volume 1.

Photos de famille lors de la présentation de l'Annuaire Congolais de Justice Constitutionnelle, volume 1.
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Historique

Le CREEDA a été créé dans le but de servir de cadre permanent aux études menées par des chercheurs congolais sur l’Etat de droit en Afrique. 

Un constat général découlant des résultats des recherches menées chaque année est que l’avancement de l’Etat de droit dans les Etats africains nécessite, outre des ordres juridiques solidifiés, des efforts intellectuels traduits par la production de nouvelles connaissances sur des questions précises, concrètes, pertinentes et identifiables touchant à la vie des citoyens africains au quotidien. Il s’agit des études sur la réalité de l’Etat de droit en Afrique.

Le contexte de création a été plus incitatif. Il était caractérisé par une remise en cause des acquis en matière de l’Etat de droit au cours du quart du siècle depuis le déclenchement du processus démocratique consécutif à la chute du Mur de Berlin. Sauf quelques rares exceptions, les ordres constitutionnels nationaux ont été, par des artifices politiques ou juridiques, changés pour réinstaurer des régimes politiques personnifiés. 

Le bilan de gouvernance globale de cette décade et demi du processus démocratique sur le continent est tout aussi mitigé. Le développement social et économique n’est pas toujours au rendez-vous malgré l’immensité des ressources naturelles et la main d’œuvre abondante.

D’où la nécessité d’un investissement intellectuel focalisé avec un objectif ultime non seulement de saisir le nœud du problème mais de proposer des solutions et de mener des actions en vue de leur prise en compte dans la formulation des politiques publiques.

Le CREEDA n’est pas seulement un lien de production de connaissances. Il se veut aussi comme un cadre d’action tourné vers la jeunesse dans le but de renouvellement de la classe dirigeante en Afrique.

Statut juridique

Le CREEDA est un Think Tank autonome et d’excellence qui œuvre pour stimuler des réformes et encourager les bonnes pratiques en matière de l’Etat de droit. Il est enregistré au Ministère de la Justice et Droits humains sous le n° F.92/26.076 du 11 janvier 2016.

Mission

Produire des connaissances innovantes pour influer sur les politiques publiques relatives à la consolidation de l’Etat de droit en Afrique.

Objectifs:

Le CREEDA a pour objectifs :

  1. Entreprendre des recherches et des analyses opérationnelles pluridisciplinaires en matière de processus de processus de gouvernance, de consolidation de la paix, de prévention des conflits aux niveaux local, national, régional et africain ;
  2. Initier des programmes de renforcement des capacités et de formation dans le domaine de l’Etat de droit ;
  3. Suivre, évaluer et formuler des recommandations sur la mise des politiques publiques en rapport avec l’Etat de droit ;
  4. Concevoir et exécuter des programmes de formation et d’encadrement de la jeunesse dans tous les secteurs d’activités ;
  5. Contribuer au dialogue social entre les parties prenantes dans les réformes relatives à l’Etat de droit ; et
  6. Constituer un centre de production de nouvelles connaissances, d’informations et de documentation sur l’Etat de droit en Afrique.

Orientations stratégiques de la recherche

Les recherché et études au sein du CREEDA sont orientées en département et programmes :

  1. Département de la Coopération international et intégration régionale (DCIIR) ;
  2. Département de la Gouvernance économique et environnementale (DGEE) ;
  3. Département de la Justice constitutionnelle et développement du droit constitutionnel congolais (DJC/DDCC) ;
  4. Département des Droits humains, Jeunesse et participation citoyenne aux affaires publiques (DDH/PCAP) ;
  5. Programme Genre et promotion du leadership féminin; et
  6. Programme sur la lutte contre la corruption.